Lequel voulez-vous ?
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Cette question a été posée il y a environ 2000 ans lorsque Jésus est emmené lié à Pilate, le gouverneur romain.
« Crucifie-le ! s’écrie la foule.
— Mais quel mal celui-ci a-t-il fait ? demande Pilate. Je n’ai rien trouvé en lui qui mérite la mort.
— Crucifie ! Crucifie-le ! crie encore plus fort la foule.
C’était la veille de la fête de Pâque et, à cette occasion, le gouverneur avait l’habitude de libérer un prisonnier à la foule, celui qu’elle voulait. Or, il y avait un prisonnier fameux, Barabbas qui avait été jeté en prison la veille à cause d’une émeute et pour meurtre.
— Lequel voulez-vous que je relâche ? demande Pilate à la foule. Barabbas ou Jésus qui est appelé Christ ?
— Fais mourir celui-ci et relâche-nous Barabbas !
— Mais quel mal celui-ci a-t-il fait ?
Mais la foule crie encore plus fort, poussée par les chefs religieux :
— Crucifie-le !
Alors Pilate, voulant contenter la foule, leur relâche Barabbas ; puis, ayant fait fouetter Jésus, il le livre pour être crucifié.
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Lequel voulez-vous ?
Les Juifs furent placés devant un choix entre deux hommes : Jésus, le Fils de Dieu, et Barabbas dont le nom signifie : « fils de son père » représentant ainsi la race humaine.
Jésus, l’homme parfait, était venu du ciel pour révéler l’amour de Dieu. Toutes ses paroles, tous ses actes ont témoigné de son origine divine. Il avait passé au milieu de l’humanité en prodiguant à tous bienfait sur bienfait. Il avait guéri toutes sortes de maladies et, tout en répondant aux besoins du corps de ses interlocuteurs, il s’était occupé du besoin de leur âme, chassant les démons de ceux qui en étaient possédés, touchant les consciences, parlant aux cœurs, enseignant le chemin de la vie. Tout ce qu’il avait accompli envers les hommes avait exprimé l’amour divin et son ardent désir qu’ils acceptent la vie éternelle.
De Barabbas, nous ne savons pas grand chose, sinon qu’il avait manifesté l’attitude courante de l’homme en général : révolte, violence, meurtre.
En face de ces deux hommes, les Juifs, placés devant leur responsabilité, choisissent d’épargner celui qui les représente, celui qu’ils considèrent comme l’un des leurs. Ils exigent la libération de Barabbas et la crucifixion de Jésus.
Lequel voulez-vous ?
Et vous, cher ami lecteur, si vous n’avez pas encore reçu Jésus comme votre Sauveur, vous êtes aussi placé devant votre responsabilité. Quel choix faites-vous ? Lequel voulez-vous ?
Jésus, le Fils de Dieu, la source de la vie,
ou Barabbas, représentant la race humaine digne de mort ?
C’est volontairement que Jésus s’est laissé crucifier. Il aurait pu demander 12 légions d’anges (Matthieu 26 v.53). Lui à qui le vent et la mer obéissaient (Marc 4 v.39), aurait pu anéantir tous ceux qui mettaient la main sur lui pour le crucifier. Il s’est laissé clouer sur la croix parce qu’il savait que là, il allait payer le prix de vos péchés, subissant à votre place la condamnation divine.
« Regarde, vous dit Dieu, j’ai mis aujourd’hui devant toi la vie et le bonheur, et la mort et le malheur […] j’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives. » (Deutéronome 30 v.15 et 19)
Lequel voulez-vous ?
Jésus ou Barabbas ?
La bénédiction ou la malédiction ?
La vie éternelle ou la mort éternelle ?
« Choisis la vie, afin que tu vives. »
Jésus a dit : « Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra » (Jean 11 v.26)
« Qui croit au Fils [de Dieu] a la vie éternelle, mais qui ne croit pas au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. » (Jean 3 v.36)
Avec lequel voulez-vous passer l’éternité ?
Avec Jésus, dans le ciel ?
Ou avec Barabbas, en enfer ?
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