Henri Devaux, savant contemporain qui fut membre de l'Institut de France et professeur à la Faculté de Bordeaux, a déclaré :
"J'ai beaucoup étudié la nature et je puis dire que c'est avec le même enthousiasme qu'au déclin de ma vie, je continue à l'étudier. J'ai eu le privilège de faire quelques découvertes en physique et en biologie et de constater avec admiration combien tout est merveilleux partout, depuis les astres étincelants jusqu'aux gouttes de pluie ou à la plus simple fleur.
Mais j'estime que toute cette science que j'ai acquise n'est rien à côté du privilège de connaître Jésus Christ, le Sauveur du monde, mon Sauveur et mon Dieu ! C'est par lui que je sais que je suis pardonné et sauvé, c'est par lui que je sais que j'ai la vie éternelle.
Aucune science humaine ne peut me donner de telles certitudes. Je sais que Dieu m'a tellement aimé qu'il a donné son Fils unique pour que je ne périsse pas, mais que j'aie la vie éternelle" (Jean 3.16).
Admirer la nature est une occupation très enrichissante, d'autant plus quand on pense à celui qui en est l'Auteur. Plusieurs d'entre nous en ont probablement fait l'expérience pendant ses récentes vacances, se trouvant devant un magnifique paysage de montagnes ou en face de l'étendue de l'océan... C'est un sujet d'adoration qui monte de nos coeurs à ce grand Dieu Tout-Puissant Créateur. Mais quand nous pensons que ce Grand Dieu Créateur est aussi le Grand Dieu Sauveur qui aime sa créature et a donné ce qu'il a de plus grand et de plus cher pour sauver les hommes, Jésus, son Fils unique et bien-aimé, nous ne pouvons que nous prosterner et adorer sans comprendre.
Ami, connaissez-vous ce Dieu Créateur comme votre Dieu Sauveur en Jésus ? Pouvez-vous chanter ce cantique :
Dieu tout-puissant, quand mon cœur considère
Tout l'univers créé par ton pouvoir,
Le ciel d'azur, les éclairs, le tonnerre,
Le clair matin ou les ombres du soir,
De tout mon être, alors s'élève un chant :
"Dieu tout-puissant, que tu es grand !"
Mais quand je songe, ô sublime mystère !
Q'un Dieu si grand a pu penser à moi,
Que son cher Fils a porté ma misère,
Et que je suis l'héritier du Grand Roi,
Alors mon cœur redit la nuit le jour :
"Que tu es bon, ô Dieu d'amour !"
Seigneur, lorsque je contemple
Les ouvrages de tes mains,
Le ciel, voûte de ton temple,
Qui couvre tous les humains,
Quand je vois l’armée immense
Des astres brillant aux cieux,
Soutenus par ta puissance
Dans leurs orbes radieux,
Je comprends ma petitesse,
Mon néant et ta grandeur,
Je sens toute ma faiblesse,
Ô Dieu, puissant Créateur !
Je ne suis devant ta face
Qu’un être infirme et pécheur;
Puis-je espérer que ta grâce
Me regarde avec faveur ?
Ah ! je sais que ta tendresse
Daigna s’abaisser vers moi,
Me prit dans ma petitesse
Pour m’élever jusqu’à toi.
Oui, le pécheur misérable
A plus de prix à tes yeux
Que le cortège innombrable
Des étoiles dans les cieux ;
(Hymnes et Cantiques 208)