Au début de l’Evangile selon Jean, il est écrit au sujet de Jésus, le Fils de Dieu :
« … le monde fut fait par lui, et le monde ne l’a pas connu. Il vint chez lui, et les siens ne l’ont pas reçu. Mais à tous ceux qui l’ont reçu, il leur a donné le droit d’être enfants de Dieu, c’est-à-dire à ceux qui croient en son nom » (Jean 1 v.12)
Jésus est venu chez lui, c’est-à-dire parmi son peuple à qui, plusieurs siècles auparavant, le Messie avait été promis. Cette promesse était exclusive au peuple d’Israël. Mais les Juifs ne reconnurent pas Jésus comme étant leur Messie. Jaloux de lui et parce qu’il était la lumière venue dans le monde mettant en évidence leurs œuvres mauvaises, ils ne l’ont pas reçu : non seulement ils rejetèrent Celui qui était venu du ciel les visiter en grâce, mais ils le crucifièrent comme un vil malfaiteur, le couvrant d’outrages ! Pierre leur dira plus tard : « vous avez renié le Saint et le Juste … Vous avez mis à mort le Prince de la vie ! » (Actes 3 v.13-15). Ce crime le plus odieux de l’histoire de l’humanité est la démonstration éclatante de la rébellion de l’homme contre Dieu et de la méchanceté de son cœur.
Celui dont la puissance est infinie, qui avait accompli tant de miracles, n’aurait-il pas pu se défendre et anéantir tous ceux qui mettaient la main sur lui ? Certainement ! Mais il s’est offert lui-même volontairement à la croix parce qu’il savait que là, il allait payer le prix immense de nos péchés en subissant à notre place le jugement divin que nous méritions.
En vertu de son sacrifice volontaire qui a répondu pleinement aux exigences de la sainteté et de la justice divines, Dieu pardonne pleinement le coupable repentant et croyant et fait de lui son enfant.
Jésus « vint chez lui, et les siens ne l’ont pas reçu. Mais (ce petit est de toute importance et annonce une vérité sublime) à tous ceux qui l’ont reçu, il leur a donné le droit d’être enfants de Dieu, c’est-à-dire à ceux qui croient en son nom ». N’est-ce pas merveilleux ? Celui qui croit au Seigneur Jésus, le saint Fils de Dieu qui a souffert et est mort pour ses péchés reçoit le droit d’être enfant de Dieu ; non pas être “appelé” enfant de Dieu mais être enfant de Dieu, jouissant de cette relation si intime avec son Créateur.
Vous avez bien remarqué : « A tous ceux qui l’ont reçu », pas seulement aux Juifs, les siens chez qui il était venu, mais à tous. Il n’y a plus d’exception : qui que vous soyez, quelle que soit votre origine, vous avez le droit d’être enfant de Dieu si vous recevez Jésus comme votre SAUVEUR personnel.
« Dieu a tant aimé le monde (le monde entier) qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque (qui que vous soyez) croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. »
(Jean 3 v.16)
Ami lecteur, avez-vous reçu Jésus Christ dans votre cœur ? Êtes-vous un enfant de Dieu ?
La Bible ne mentionne que deux catégories de personnes : les enfants de Dieu et les enfants du diable.
(1 Jean 3 v.10). De laquelle faites-vous partie ?
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