Meilleurs vœux ! Bonne année, bonne santé…
A chaque début d’année, ces souhaits s’échangent de tous côtés : en famille, au bureau, dans la rue, sur les marchés…vœux de bonne santé, de réussite, de prospérité… Tous ces souhaits sont formulés à titre individuel ou familial mais que souhaitons-nous sur le plan social ? Au début de l’année 2022 qui vient de s’écouler, ces mêmes vœux ont été formulés et qu’avons-nous connu ? La guerre en Ukraine, la canicule de l’été dernier, la sécheresse qui a provoqué de nombreux feux de forêts, l’inflation, le covid qui continue de faire ses ravages…
Que nous réserve cette année 2023 ? Ne soyons pas pessimistes mais il ne faut pas non plus rêver à des jours meilleurs. La Bible ne fait aucune promesse d’amélioration ; au contraire, elle prévient que « dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles » (lire 2 Timothée 3 v.1 à 5). Beaucoup de questions nous interpellent : Allons-nous vers une surpopulation ? C’est-à-dire : aurons-nous toujours suffisamment de ressources nécessaires pour une population mondiale qui augmente d’année en année ? Quelles seront les conséquences du réchauffement de la planète sur laquelle nous vivons ? Parviendra-t-on à vaincre le chômage et, par conséquent, la misère, l’exclusion ? Qui paiera les retraites de nos enfants et petits-enfants ? Beaucoup de questions se posent. En résumé : Peut-on encore avoir de l’espoir ?
Pour ceux et celles qui ont mis leur confiance en Dieu et qui connaissent Jésus comme leur Sauveur, il y a bien plus qu’un espoir : une espérance vivante. L’espoir est aléatoire tandis que l’espérance chrétienne n’est entachée d’aucune incertitude. Elle est sûre parce qu’elle s’appuie sur les promesses de Dieu. Jésus Christ a dit : « Que votre cœur ne soit pas troublé ; vous croyez en Dieu, croyez aussi en moi. Dans la maison de mon Père, il y a de nombreuses demeures ; s'il en était autrement, je vous l'aurais dit, car je vais vous préparer une place. Et si je m'en vais et que je vous prépare une place, je reviendrai et je vous prendrai auprès de moi, afin que là où moi je suis, vous, vous soyez aussi. » (Jean 14 v.1 à 3)
« Le Seigneur lui-même, avec un cri de commandement, avec une voix d’archange, et avec la trompette de Dieu, descendra du ciel ; et les morts en Christ ressusciteront en premier lieu ; puis nous, les vivants qui restons, nous serons enlevés ensemble avec eux dans les nuées à la rencontre du Seigneur, en l’air : et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Consolez-vous donc l’un l’autre par ces paroles. » (1 Thessaloniciens 4 v.16 à 18)
Voilà l’espérance du vrai chrétien : au milieu d’un monde désespérant il est consolé, encouragé par les promesses divines : vivre éternellement dans la félicité de la maison du Père, pour toujours avec le Seigneur.
Ami lecteur, amie lectrice, il est une question bien plus importante que l’avenir du monde en 2023 et les années suivantes, question que chacun et chacune doit se poser :
Quel sera mon avenir éternel ?
Aujourd’hui, il est encore temps de se tourner vers Dieu, « notre Dieu Sauveur qui veut que tous les hommes soient sauvés et viennent à la connaissance de la vérité » (1 Timothée 2 v.4)
« Le Seigneur est patient envers vous, voulant qu’aucun ne périsse, mais que tous viennent à la repentance »(2 Pierre 3 v.9)
En ce début d’année traditionnellement consacré à échanger des vœux, celui que nous formulons pour chacun des lecteurs est qu’au milieu de ce monde incertain, il possède « cette espérance, comme une ancre de l’âme, sûre et solide » (Hébreux 6 v.19) espérance d’une éternité bienheureuse.
Pour cela, il faut saisir, par la foi, les promesses immuables de Dieu :
« Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé » (Actes 16 v.31)
« Qui croit au Fils de Dieu a la vie éternelle » (Jean 3 v.36)
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Citation : "La foi et l’espérance se nourrissent des promesses divines. Le chrétien connaît son port d’attache encore invisible ; il y a jeté son ancre. Si agité que soit le monde, la foi est « l’amarre » qui relie fermement le racheté au lieu céleste et immuable où se trouve l’objet de son espérance." (Jean Kœchlin, CJLE)
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