Heureusement, il y a une porte par laquelle vous pouvez vous échapper. Jésus a dit : « Moi, je suis la porte » (Jean 10 v.9)
Vous ne serez sûrement pas assez fou pour négliger cette issue pour la seule raison que vous avez, dans votre cœur, une passion pour quelque bien terrestre ou quelqu’idole ! La porte est grande ouverte encore maintenant, et elle est tout près de vous. Franchissez-la avant qu’il ne soit trop tard. La colère à venir dont parle la Bible va bientôt déferler sur le monde « parce que Dieu a établi un jour auquel il doit juger en justice la terre habitée » (Actes 17 v.31)
Au temps de Noé, il n’y avait qu’une seule porte par laquelle on pouvait se mettre à l’abri du déluge : la porte de l’arche. Aujourd’hui, pour être à l’abri du jugement de Dieu, il n’y a qu’une seule porte :
JÉSUS CHRIST.
« Moi, je suis la porte, a-t-il dit. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé. » (Jean 10 v.9)
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Je n’aurais pas été si fou !
Le magasin "Innovation" à Bruxelles vers 1905
En mai 1967, un terrible incendie ravagea le grand magasin « Innovation » à Bruxelles. 251 personnes périrent. Les flammes se propagèrent si rapidement qu’elles ne laissèrent à la plupart des clients aucune chance d’atteindre une sortie. Deux vendeuses averties à temps se précipitèrent vers une issue. L’une put se sauver, mais l’autre, arrivée près de la porte, se retourna et s’écria : « Mon manteau ! Je vais le chercher ». Malgré les appels pressants de sa collègue, elle courut vers le vestiaire… On ne la revit jamais !
Elle perdit sa vie pour ne pas perdre son manteau ! Peut-être vous dîtes-vous : « Jamais je n’aurais été si fou ! » Sans doute. Pourtant, savez-vous que, si vous n’êtes pas en règle avec Dieu, vous êtes menacé par « le feu qui ne s’éteint pas » ? Il ne s’agit vraisemblablement pas d’un incendie produisant des flammes, mais la Bible emploie ce langage symbolique pour faire comprendre l’intensité des tourments de ceux qui seront éternellement séparés de Dieu, ayant refusé l’Evangile de notre Seigneur Jésus Christ. Tant que vous ne l’avez pas accepté comme votre Sauveur qui, seul, peut vous délivrer de la colère qui vient, chaque jour, chaque seconde vous rapproche du terrible feu du jugement divin.