Ah ! tes deux mains percées, Saignantes sous les clous,
Par les hommes blessées
Quand tu mourais pour nous,
Et des choses souffertes
Gardant le souvenir,
Ces mains restent ouvertes,
Ouvertes pour bénir.
(Hymnes et Cantiques 117:2)
Tandis qu’il se sépare de nous pour s’élever dans le ciel, il continue à nous bénir, et maintenant qu’il est au dessus de tous les cieux, ses mains restent ouvertes, ouvertes pour bénir.
Bientôt, il l’a promis, il reviendra et nous prendra pour toujours auprès de lui, dans la maison de son Père. Là nous le contemplerons, non plus par la foi, avec les yeux de notre coeur, mais dans la réalité, et nous verrons ses mains percées par les clous, marques ineffaçables de son amour pour nous.
En attendant, nous sommes dans sa main, et personne ne nous en ravira (Jean 10 v.28).
Dieu me tient dans sa main
Si l’ombre de la nuit vient obscurcir ma route,
Mon Dieu en qui je crois est mon ferme soutien.
Si l’orage en fureur éveille quelque doute,
Dieu me garde en sa main : je ne crains rien.
Refrain :
C’est dans sa main que Dieu me tient ;
Il m’aime et me protège, il me soutient.
Pour moi, jour après jour, il a son plan d’amour.
Dieu me tient dans sa main : je ne crains rien.
Non, je ne connais pas mon avenir d’avance,
Mais je m’attends à Dieu qui ne veut que mon bien.
Je sais que je peux mettre en lui ma confiance,
Il me garde en sa main : je ne crains rien.
Je sais que son amour sera toujours le même,
Qu’il m’accompagnera jusqu’au bout du chemin.
Oui, le Dieu que je sers, que j’adore et que j’aime
Me garde dans sa main : je ne crains rien.
Vous pouvez écouter ce chant interprété par les capitaines Roth
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