Il reste cependant une chose que la science ne peut pas explorer : le cœur de l’homme. Je ne parle pas de l’organe musculaire qui conditionne la circulation du sang dans le corps, mais de cette partie immatérielle que chacun possède : le centre de nos sentiments, de nos pensées, de nos motivations, de nos désirs… Examinons-nous honnêtement : Combien d'hypocrisie, de faux-semblants, de jalousie, de mauvaises pensées sont en nous sans que personne ne les voie !
Personne ?... En est-on sûr ?... Dieu dit : « Le cœur est tortueux plus que tout, et incurable ; qui peut le connaître ? Moi, l’Éternel, je sonde le cœur, j’éprouve les reins… » (Jérémie 17 v.9-10)
David a écrit : « Éternel, tu me sondes et tu me connais … Tu discernes de loin ma pensée … Car ma parole n’est pas encore sur ma langue, que déjà, ô Éternel, tu la connais entièrement. » (Psaume 139 v.1 à 4)
Réalisons-nous que Dieu connaît chacune de nos pensées, chacune de nos intentions, même les plus secrètes ? Puisqu’il en est ainsi, nous sommes tous perdus ! Ce Dieu saint qui ne peut admettre aucun péché parce que « ses yeux trop purs pour voir le mal » (Habakuk 1 v.13) se doit de nous condamner tous à cause de nos nombreux mauvais penchants : rancune, amertume, fausseté, haine parfois. Mais ce Dieu saint est aussi le Dieu d’amour qui veut nous guérir. Il est le médecin de l’âme.
Non seulement il nous a donné sa Parole qui, telle une radiographie, nous révèle ce que nous sommes véritablement – des pécheurs –, il nous a envoyé du ciel le divin remède : Jésus-Christ, « la vraie lumière qui, venant dans le monde, éclaire tout homme » (Jean 1 v.9) a donné sa vie pour nous et son sang purifie le croyant de tout péché (1 Jean 1 v.7)
Laissons-nous donc transpercer par la lumière divine, comme l’est notre corps lors d’une radiographie. Reconnaissons notre état de pécheurs perdus méritant la condamnation divine et recevons par la foi le remède que Dieu nous offre : Jésus, le divin Sauveur.
«il n'y a de salut en aucun autre ; car il n'y a pas non plus sous le ciel d'autre nom qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faut être sauvés. » (Actes 4 v.12)