Applaudi par la foule, un conférencier athée s’évertuait à démontrer, par des arguments qu’il essayait de rendre convaincants, que c’est de la folie de croire en un Dieu vivant.
Dès qu’une occasion favorable se présenta pour la discussion, un homme se leva puis s’avança. Il raconta ce qu’il avait vu quelque temps auparavant, depuis la berge d’un fleuve : Une barque entraînée par le courant vers de dangereux rapides. Il s’y trouvait un homme qui faisait tout son possible pour atteindre la rive mais, constatant l’inutilité de ses efforts et son incapacité de faire quoi que ce soit pour son salut, cet homme jeta loin sa rame et invoqua le secours de Dieu. Comme par miracle, il fut sauvé de la mort.
On peut imaginer la confusion du conférencier quand son interlocuteur le montra du doigt et dit :
« Voilà l’homme dont je viens de parler, et il cherche aujourd’hui à vous prouver qu’il n’y a ni Dieu, ni éternité, ni jugement, ni besoin de salut ! »
L’athée disparut et la foule se dispersa, profondément émue de ce qu’elle venait d’entendre.
Cher lecteur, peut-être êtes-vous passé par des épreuves ou des circonstances difficiles dans lesquelles vous ne voyiez pas d’issue. Peut-être avez-vous invoqué Dieu et avez-vous vu sa main vous délivrer.
Qui n’a pas été guéri d’une maladie qui aurait pu être fatale ? Qui n’a pas frôlé l’accident qui aurait pu être mortel ? Mais une fois l’épreuve passée, vous êtes-vous souvenu de la miséricorde divine ? ou continuez-vous à vivre, indifférent, comme si Dieu n’existait pas ?
Telle ou telle circonstance que Dieu permet est un avertissement qui nous rappelle que la vie peut prendre fin à tout moment et qu’il faut être prêt maintenant.
« Dieu parle tantôt d’une manière, tantôt d’une autre et l’on n’y prend pas garde » (Job 33 v.14)
« Prenez garde de ne pas refuser celui qui parle ... celui qui parle ainsi des cieux » (Hébreux 12 v.25)
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