Nous vous souhaitons une bonne année 2011 ! « Bonne année et bonne santé » dit-on souvent ; et on ajoute : « La santé, c’est le principal ! »
La santé, c’est très important, nous en convenons. Mais n’y a-t-il pas quelque chose de plus important que la santé du corps ?
Il y a une vingtaine d’années, on estimait à plus de dix mille le nombre de maladies répertoriées. Et leur nombre s’accroît toujours, plongeant l’humanité dans de nouvelles souffrances. La lutte contre ces maladies a conduit à mettre au point environ cinquante mille variétés de médicaments, et encore, ceux-ci n’agissent efficacement que sur un tiers des maladies de nos jours. Beaucoup d’entre elles attendent encore le remède miracle qui les ferait disparaître à tout jamais.
Il existe une autre maladie, plus ancienne et plus grave que toutes.
Plus ancienne, car elle est apparue au jardin d’Eden, lorsque nos premiers parents, Adam et Eve, ont désobéi à la Parole divine.
Plus grave, car si les maux et les infirmités touchant le corps n’entraînent, au pire, que la mort physique, ce mal-là atteint l’âme humaine et a pour conséquence inéluctable la "seconde mort", c’est-à-dire une éternité loin de Dieu. De surcroît, ce mal est héréditaire, immédiatement inscrit, pour ainsi dire, dans notre patrimoine génétique. L’homme est pécheur, non seulement parce que « tous ont péché » (Romains 3 v.24), mais aussi par nature qu’il a hérité de ses parents.
Et bien cette maladie aussi peut être guérie. Pas par la morale, ni même par la religion, ni par quelque pratique de notre part ! Pas plus qu’un Éthiopien ne pourrait changer sa peau ou un léopard ses taches (Jérémie 13 v.23), l’homme ne peut ôter de lui le péché qui le mène à la mort éternelle.
Jésus est le grand médecin et sa croix le remède souverain. N’en cherchez pas d’autre. En vertu de son sang versé, de sa vie donnée, Dieu peut ôter vos péchés et vous donner un cœur nouveau.
En vous souhaitant une bonne année, nous vous souhaitons également une bonne santé, mais nous pensons avant tout à votre santé spirituelle. Ne voulez-vous pas venir maintenant, par la foi, à Jésus pour être guéri définitivement de cette maladie qui a atteint tous les hommes : le péché. Nous le répétons, le remède, le seul remède, c’est la croix.
« Christ est mort pour nos péchés » (1 Corinthiens 15 v.3).
Il en a payé le prix par son sang qui a été versé pour nous à la croix, son sang qui purifie le croyant de tout péché (1 Jean 1 v.7)
« Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé » (Actes 16 v.31)
« Il n’y a de salut en aucun autre » (Actes 4 v.12)