« L'Eternel est mon berger »
David, l’auteur de ce merveilleux psaume, considérant Dieu comme son berger, est lui-même une brebis. Comme nous tous, d’ailleurs. Le prophète Esaïe n’a-t-il pas écrit : « Nous avons tous été errants comme des brebis… » (Esaïe 53 v.6). Jésus lui-même a été ému de compassion en voyant la foule, parce qu’ils étaient comme des brebis qui n’ont pas de berger (Marc 6 v.34). Voilà ce qui caractérise la brebis sans berger : l'errance. J’ai entendu dire ou lu quelque part que la brebis serait le seul animal domestique ne sachant pas retrouver son chemin et incapable de revenir au bercail sans y être conduite. L’homme sans Dieu, où va-t-il ? Ah ! il vous dira probablement qu’il sait où il va dans la vie courante, mais il ne connaît pas ce qui arrivera le jour de demain (Jacques 4 v.13-14). Demandez-lui où il va après la mort… Il est comme une brebis errante qui n’a pas de berger, et nous l’avons tous été, nous dit Esaïe.
Cher ami lecteur, connaissez-vous l’Eternel Dieu comme votre berger ? David a vécu bien avant que Dieu vienne sur la terre sous la forme d’un homme. S’il avait connu Jésus, il aurait écrit : « Jésus est mon berger : je ne manquerai de rien ».
Christ lui-même a dit : « Moi, je suis le bon berger : le bon berger laisse sa vie pour les brebis … Moi, je suis le bon berger : je connais les miens et je suis connu des miens, comme le Père me connaît et moi je connais le Père ; et je laisse ma vie pour les brebis » (Jean 10 v.11,14 et 15)
Permettez-moi de vous reposer la question : Êtes-vous encore une brebis errante, comme une brebis qui n’a pas de berger ? ou connaissez-vous le Seigneur Jésus comme votre sauveur d’abord, celui qui a donné sa vie pour vous, puis comme votre berger, celui qui vous conduit ?
Remarquez que David a écrit : « L’Eternel est MON berger » et non : "le" ou "notre" berger. Il le connaît personnellement comme tel. Christ est le berger du troupeau, mais pour faire partie de ce troupeau, il faut Le connaître personnellement. On n’est pas chrétien parce qu’on adhère à une religion ou que l’on se joint à un groupe religieux, mais parce qu’on connaît personnellement Jésus Christ, l’ayant reçu comme son Sauveur.
« je ne manquerai de rien. »
« L’Eternel est mon berger » déclare David, et il en conclut : « je ne manquerai de rien ».
C’est la foi qui s’exprime. S’il avait écrit : « je n’ai manqué de rien » ou « je ne manque de rien », c’eut été une constatation et certainement un sujet de louange comme il l’écrivit plus tard : « Mon âme, bénis l’Eternel, et n’oublie aucun de ses bienfaits » (Psaume 103 v.2). L’emploi du futur montre sa pleine confiance en l’avenir.
Pourtant, dira-t-on, il y a bien des croyants qui sont privés du nécessaire, et dans certains pays, beaucoup vivent dans la misère…
Mais chaque croyant peut dire, par la foi : Je ne manquerai de rien, de rien de ce qui est nécessaire à mon âme. Pourquoi ? Parce que le Seigneur est mon berger. « Moi, a-t-il dit, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles l’aient en abondance » (Jean 10 v.10). La vie en abondance, la vie éternelle. Si je me tourne vers l’avenir, je vois une éternité bienheureuse, pour toujours avec Jésus.
En lui, le croyant a tout ce dont il a besoin.
Se sent-il abandonné de ses amis ? Le Seigneur lui dit : « Je ne te laisserai pas, je ne t’abandonnerai pas » (Josué 1 v.5)
Est-il troublé ? Jésus a dit : « Je vous laisse la paix ; je vous donne ma paix ; je ne vous donne pas, moi, comme le monde donne. Que votre cœur ne soit pas troublé ni craintif » (Jean 14 v.27)
A-t-il perdu un être cher ? Jésus dit, comme à Marthe : « Ton frère ressuscitera » (Jean 11 v.23). « Ne soyez pas affligés comme les autres qui n’ont pas d’espérance » (1 Thessaloniciens 4 v.13)
A-t-il besoin de consolation ? « Le Dieu de toute consolation nous console à l’égard de toute notre affliction » (2 Corinthiens 1 v .3-4)
Est-il malade, souffrant ? « Les souffrances du temps présent ne sont pas dignes d’être comparées avec la gloire à venir qui doit nous être révélée » (Romains 8 v.18)
Traverse-t-il des épreuves ? L’apôtre Pierre a écrit : « Vous vous réjouissez tout en étant affligés maintenant pour un peu de temps par diverses épreuves, si cela est nécessaire, afin que la mise à l’épreuve de votre foi - bien plus précieuse que celle de l’or qui périt et qui pourtant est éprouvé par le feu - se trouve être un sujet de louange, de gloire et d’honneur, dans la révélation de Jésus Christ... » (1 Pierre 1 v.6 à 7)
Non , je ne manquerai de rien. Même l’épreuve, si cela est nécessaire, ne me manquera pas. Et je sais que quand celle-ci m’atteint, le Seigneur, mon divin berger, le permet pour mon bien.
David ajoute, dans ce même psaume : « Même quand je marcherais par la vallée de l’ombre de la mort, je ne craindrai aucun mal, car tu es avec moi » (v.4)
Que nous manquerait-il si le Seigneur est avec nous ? Il est notre Sauveur, notre berger, notre paix, notre vie, notre espérance, notre soutien, notre consolateur… Il est tout pour le croyant.
Et même s'il nous manque quelque chose sur cette terre où nous ne sommes que de passage, qu'est-ce en comparaison de l'éternité bienheureuse qui nous attend : un héritage incorruptible, sans souillure, inaltérable, conservé dans les cieux pour nous... (1 Pierre 1 v.4)
« Il me fait reposer... »
Le repos : quel doux mot !
« Ce n'est pas ici un lieu de repos, à cause de la souillure qui mène à la ruine : la ruine est terrible ! » a écrit le prophète Michée (ch. 2 v.10). En effet, où pourrait-on trouver le repos de l’âme dans ce monde envahi par le péché ? Même si nous goûtons parfois le repos pour le corps ou l’esprit lors de vacances, par exemple, où l’âme peut-elle trouver du repos si ce n’est auprès de Celui qui a dit : « Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos » (Matthieu 11 v.28). Encore aujourd’hui Jésus adresse cette invitation à quiconque dont la conscience est chargée du lourd fardeau de ses péchés. Qu’il ne se fatigue plus à chercher le moyen de s’en débarrasser, mais qu’il vienne à Jésus qui s’en est chargé lui-même, à la croix : « Il a porté nos langueurs et s'est chargé de nos douleurs. Il a été blessé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix a été sur lui… L'Eternel a fait tomber sur lui l'iniquité de nous tous. » (Esaïe 53 v.4-5)
Quel doux repos pour l’âme du croyant qui sait que ses péchés sont effacés par l’œuvre de Jésus accomplie parfaitement à la croix ! Il est devenu sa brebis que le bon Berger fait reposer
« ... dans de verts pâturages »
là où elle trouvera toute la nourriture dont a besoin son âme.
« Celui qui vient à moi n’aura jamais faim » dit Jésus (Jean 6 v.35).
« Moi je suis le pain de vie … le pain vivant qui est descendu du ciel ; si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement » (id v.48 et 51)
Quand Jésus, avec cinq pains et deux poissons, nourrit les cinq mille hommes, il les fit d'abord s'asseoir (il me fait reposer) sur l'herbe verte (dans de verts pâturages). (Marc 6 v.39)
« Il me mène à des eaux paisibles »
où l’âme peut se désaltérer à volonté.
Ecoutez encore une invitation à venir à Jésus : Il cria disant : « Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi et qu’il boive » (Jean 7 v.38) et « celui qui boira de l’eau que je lui donnerai, moi, n’aura plus soif à jamais ... » (Jean 4 v.14)
Comme les Israélites traversant le désert aride buvaient l’eau du Rocher qui les accompagnait – et ce Rocher était le Christ (1 Corinthiens 10 v.4) – le croyant se désaltère au ruisseau de Dieu qui est plein d’eau (Psaume 65 v.9)
Et, contrairement aux eaux troubles et tumultueuses que le monde offre, le divin berger mène ses chères brebis à des eaux paisibles : « Je vous laisse la paix, nous dit-il ; je vous donne ma paix ; je ne vous donne pas, moi, comme le monde donne. Que votre cœur ne soit pas troublé ni craintif » (Jean 14 v.27)
Ami, cette paix, la connaissez-vous ? La paix avec Dieu et la paix du coeur.
N’est-il pas vrai que la brebis du Seigneur ne manque de rien ?
Avec Lui et en Lui, elle a :
le repos : il me fait reposer
la nourriture : dans de verts pâturages,
la conduite : il me mène
l'eau qui étanche sa soif : à des eaux
la paix : des eaux paisibles.
et bien d’autres choses encore que nous verrons dans la suite de ce Psaume 23.
« Il restaure mon âme »
Qui n’a pas besoin d’être restauré ? Nous avons tous en nous la nature pécheresse que la parole de Dieu appelle "la chair" ou le "vieil homme" et si, pour le croyant, ce vieil homme a été crucifié avec Christ (Romains 6 v.6), il est toujours présent. L’apôtre Paul nous exhorte à « rejeter le vieil homme qui se corrompt selon les convoitises trompeuses » (Ephésiens 4 v.22). Hélas, le croyant qui, rappelons-le, n’est pas naturellement meilleur que les autres, peut succomber à la tentation ou commettre une faute perdant, de ce fait, la jouissance de sa communion avec Dieu. Le divin Berger ne veut pas que sa brebis reste dans un tel état ; par son Esprit il lui montre son péché dans le but de l’amener à le confesser, et nous avons cette précieuse promesse de sa Parole : « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité » (1 Jean 1 v.9). Ainsi, le chrétien confessant sa faute est restauré.
« Il me conduit dans des sentiers de justice, à cause de son nom »
L’âme étant restaurée, la brebis est conduite par son berger dans des sentiers de justice, à cause de son nom. Le croyant n’est plus comme une brebis errante qui n’a pas de berger. Elle est conduite par quelqu’un de sûr à cause de son nom. Comment celui qui porte le nom de Christ (le mot "chrétien" est dérivé de "Christ") ne se laisserait-il pas conduire dans des sentiers de justice comme Lui, Christ, est juste (1 Jean 3 v.7) ? Le contraire ne ferait que déshonorer son nom qu’il porte. Jésus, mon berger, non seulement m’a justifié par sa grâce, en vertu de son sang versé, de sa vie donnée, mais aussi il me conduit dans des sentiers de justice : à moi de le suivre en écoutant sa voix – et non la voix d’un étranger -.
« Les brebis le suivent car elles connaissent sa voix ; mais elles ne suivront pas un étranger… » (Jean 10 v.4)
« Mes brebis écoutent ma voix, moi je les connais, et elles me suivent ; moi, je leur donne la vie éternelle, et elles ne périront jamais… » (Jean 10 v.27-28)
Ami qui portez le nom de chrétien, ce beau nom qui a été invoqué sur vous (Jacques 2 v.7) par le baptême, connaissez-vous réellement Jésus comme votre Sauveur et votre Berger ? Le suivez-vous dans les sentiers de justice dans lesquels il conduit ses brebis ?
« Même je marcherais par la vallée de l’ombre de la mort ... »
La vallée de l’ombre de la mort : lugubre et effrayante pour celui ou celle qui ne connaît pas Dieu, pour la brebis errante et sans berger ! Où aller ? De quel côté se tourner ? De qui entendre une consolation, un soutien, un encouragement lorsqu’on est seul devant la mort ? Qu’y a-t-il après celle-ci ? « Moi, la mort ne me fait pas peur ! » m’ont déjà rétorqué des incroyants. Mais cette déclaration n’est qu’un défi pour faire taire la peur qui existe dans le tréfonds de l’être.
Le croyant ne craint pas la mort, car il sait que celle-ci est pour lui l’entrée dans le repos en attendant la résurrection pour être introduit par le Seigneur lui-même dans le ciel où il sera pour toujours avec lui. L'apôtre Paul a écrit : « Pour moi, vivre c’est Christ, et mourir, un gain… j’ai le désire de partir et d’être avec Christ, car c’est, de beaucoup, meilleur » (Philippiens 1 v.21 et 23).
Marcher par la vallée de l’ombre de la mort, c’est aussi traverser les circonstances difficiles telles qu’une maladie grave, la perte d’un être cher… Ce même apôtre a écrit : « Or nous ne voulons pas, frères, que vous soyez dans l’ignorance à l’égard de ceux qui dorment, afin que vous ne soyez pas affligés comme les autres qui n’ont pas d’espérance. » (1 Thessaloniciens 4 v.13). Remarquez le terme employé par les saintes Ecritures pour désigner la mort des croyants : le sommeil (ils dorment) qui indique le repos (Jean 11 v.11), contrairement à la mort de ceux qui ont refusé la grâce de Dieu et qui sont dans les tourments (Luc 16 v.23).
Comme le psalmiste David, le croyant peut dire :
« je ne craindrai aucun mal, car tu es avec moi »
Jésus n’a-t-il pas promis, en quittant ses disciples pour remonter au ciel : « Voici, moi je suis avec vous tous les jours … » (Matthieu 28 v.20). Que peut craindre le croyant si Jésus, son divin Berger, est avec lui tous les jours ?
« ta houlette et ton bâton me rassurent »
La houlette est un long bâton qui se termine en boucle et servant à ramener la brebis qui s'éloigne ou à la tirer d’un endroit d’où elle ne peut revenir seule. Le bâton sert à défendre la brebis et à la protéger des bêtes sauvages.
N’est-ce pas rassurant de savoir que, même dans les plus sombres moments de notre vie, notre Seigneur est là, par son Esprit, avec nous, près de nous ? Il nous soutient dans nos faiblesses (sa houlette), il nous protège de l’ennemi (son bâton).
«Tu dresses devant moi une table en la présence de mes ennemis »
Que d’ennemis le chrétien n’a-t-il pas ? Jésus l’avait dit : « S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi » (Jean 15 v.20). Combien de croyants subissent, dans certains pays, les attaques de l’adversaire, le diable qui, comme un lion rugissant, cherche qui il pourra dévorer (1 Pierre 5 v.8). Les ennemis ne manquent pas, ni pour nous qui avons le privilège de nous trouver dans des pays dont les autorités nous laissent la liberté. Nous sommes entourés d’ennemis qui ne se présentent peut-être pas comme un lion rugissant, mais comme un serpent rusé qui, par des attaques sournoises, des moqueries ou diverses tentations, cherche à décourager et faire tomber le croyant. Nombreux sont les ennemis à combattre, mais nous ne sommes pas seuls ; nous avons un Berger qui a vaincu le plus grand de nos adversaires : Satan.
Au milieu de tous ces ennemis, le Seigneur dresse une table devant moi. La table nous parle de la communion. Malgré la présence d’ennemis, je jouis de la communion avec Jésus si je m’approche de sa table où je trouve tout en abondance. Que me manquerait-il avec ce divin Berger qui me donne la vie en abondance (Jean 10 v.10) ? David l’a dit en commençant ce psaume : « Je ne manquerai de rien ». Sa coupe est comble.
A cette table, chacun est invité, y compris vous, cher lecteur : « Venez, car déjà tout est prêt » vous dit-il (lire Luc 14 v.16 à 24 *). Allez-vous répondre à cette invitation au grand repas comme ces gens de cette parabole qui trouvent chacun un mauvais prétexte pour ne pas venir ?
« Tu as oint ma tête d’huile »
L’huile nous parle de l’Esprit de Dieu qui habite dans le croyant (Romains 8 v.9).
Dans la parabole des dix vierges (Matthieu 25) les cinq sages qui avaient de l’huile entrèrent aux noces lors de l’arrivée de l’Epoux tandis que les cinq autres qui n’avaient pas pris d’huile avec elles restèrent dehors, la porte leur étant fermée. Ces dix vierges représentent l’ensemble de la chrétienté où se trouvent des vrais chrétiens dans lesquels l’Esprit de Dieu habite et ceux qui n’ont que le nom de chrétiens alors qu’il n’ont pas reçu Jésus comme leur Sauveur. Les premiers entreront au ciel quand Jésus, le divin Époux, viendra chercher son Eglise, tandis que les autres qui n’ont pas l’Esprit resteront à tout jamais dehors.
Ce sont les rois qui avaient la tête ointe d’huile lors de leur élection (1 Samuel 10 v.1, 16 v.13, 1 Rois 1 v.39). De même que le sacrificateur pour être sanctifié (Lévitique 8 v.12). Quel immense privilège pour chacun de nous, croyants, d’avoir été achetés pour Dieu par le sang de Christ qui nous a faits rois et sacrificateurs pour notre Dieu (Apocalypse 5 v.10). Il a oint notre tête d'huile.
« Ma couple est comble »
Après l’énumération de tant de bénédictions qui font déborder la coupe, David conclut son psaume par un « Oui » qui affirme sans l’ombre d’un doute ce qui suit :
« Oui, la bonté et la gratuité me suivront tous les jours de ma vie »
Le bon Berger qui, avant de quitter les siens, a promis d’être avec eux tous les jours (Matthieu 28 v.20) ne manquera jamais de les combler de son amour et de sa grâce chaque jour. Chacune de ses brebis peut expérimenter son amour et ses soins à chaque instant, même dans les épreuves de la vallée de l’ombre de la mort (v.4), sachant que
« son habitation sera dans la maison de l’Eternel
pour de longs jours. »
Jésus revient bientôt selon sa promesse : « Dans la maison de mon Père, il y a de nombreuses demeures ; s’il en était autrement, je vous l’aurais dit, car je vais vous préparer une place. Et si je m’en vais et que je prépare une place, je reviendrai et je vous prendrai auprès de moi, afin que là où moi je suis, vous, vous y soyez aussi » (Jean 14 v.2 et 3).
Quel heureuse espérance pour la brebis du bon Berger qui a donné sa vie pour elle : habiter pour toujours avec Lui dans la maison du Père. Alors qu’autrefois, elle était une brebis errante, suivant son propre chemin qui mène à la perdition, maintenant, elle est conduite par son Berger vers le ciel, pour une éternité de bonheur avec Lui.
Ami, si vous êtes encore errant, ne sachant où aller ni qui écouter, venez à Jésus qui vous invite encore aujourd’hui. « Venez, car déjà tout est prêt ». Il vous a préparé une demeure éternelle dans la maison du Père. Savez-vous où et comment il vous a préparé cette demeure ? Connaissez-vous le prix qu’il a dû payer ? Le prix de son sang précieux, de sa vie donnée à la croix par amour pour vous ! Allez-vous refuser une telle invitation ?
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