Lequel voulez-vous ?
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Cher lecteur, chère lectrice, comme la plupart, vous avez certainement quelque inquiétude concernant l’état actuel du monde dans lequel nous vivons. Une question surgit parfois : pourquoi donc Dieu laisse-t-il le mal impuni, pourquoi n’intervient-il pas au milieu de tant de souffrances et d’injustices ?
Lequel voulez-vous ?
Cette question, qui va être répétée plusieurs fois, nous ramène à un fait unique qui eu lieu il y a longtemps. Les hommes l’ont peut-être oublié, mais ses conséquences subsistent et Dieu nous le rappelle aujourd’hui.
Il y a environ 2000 ans, les hommes – une foule excitée par les autorités civiles et religieuses – ont choisi :
D’un côté, Barabbas criminel, rebelle, meurtrier, qui attendait en prison le jour de son exécution.
De l’autre côté, le Christ, le Fils bien-aimé du Père, qui n’avait fait que du bien partout où il est allé, le seul juste que la terre ait porté.
Lequel voulez-vous ?
Barabbas ou Jésus qui est appelé Christ ?
« Lequel voulez-vous que je vous relâche ? demanda Pilate, le gouverneur romain (car chaque année, à la fête de Pâque, un prisonnier était libéré à la demande du peuple)
― Barabbas, s’écria la foule.
― Que ferai-je de Jésus qui est appelé Christ ?
― Qu’il soit crucifié !
― Mais quel mal a-t-il fait ?
― Qu’il soit crucifié ! … Que son sang soit sur nous et sur nos enfants ! » (Matthieu 27 v.17 à 26)
Le brigand relâché court toujours : violences et corruption sévissent. Le monde est coupable de la mort du Fils de Dieu.
Un jour terrible de rétribution attend ceux qui se sont rangés du côté des foules en rejetant le Sauveur.
Le jugement de Dieu se déversera bientôt sur ce monde. En attendant, dans toute la chrétienté, on voit des croix qui rappellent de quelle mort mourut le Sauveur. Dieu ne veut pas que la mort de son Fils soit oubliée.
Aujourd’hui encore, dans sa grande patience, il appelle les hommes à se repentir : « Méprises-tu les richesses de sa bonté, de sa patience et de sa longue attente, ignorant que la bonté de Dieu te pousse à la repentance ? » (Romains 2 v.4). Reconnaître humblement devant Dieu notre culpabilité, confesser nos péchés c’est trouver le pardon qu’il offre par Jésus-Christ.
« Crois au Seigneur Jésus et te seras sauvé. » (Actes 16 v.31)
Croire au Seigneur Jésus, c’est croire à son sacrifice sur la croix, c’est croire à l’efficacité de son sang qui purifie de tout péché. Croire au Seigneur Jésus, c’est croire au Fils de Dieu, c’est avoir la vie éternelle. « C’est ici le témoignage : que Dieu nous a donné la vie éternelle, et cette vie est dans son Fils : celui qui a le Fils a la vie, celui qui n’a pas le Fils n’a pas la vie. Je vous ai écrit ces choses afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu. » (1 Jean 5 v.11 et 12)
Lequel voulez-vous ?
Écouter la voix de Dieu, croire sa Parole : la Bible ?
Ou écouter la voix du séducteur, du menteur ?
Accepter le Seigneur Jésus Christ dans son cœur, c’est se tourner « des ténèbres à la lumière et du pouvoir de Satan à Dieu, pour recevoir le pardon des péchés » (Actes 26 v.18). C’est aussi échapper au jugement éternel (Jean 5 v.25). C’est posséder une bienheureuse espérance (Tite 2 v.13)
Lequel voulez-vous ?
Une secte ? Une religion nouvelle ? Garder des traditions ? Jouir de la vie, ne pas penser à l’avenir ? Continuer à vous persuader que vous n’êtes pas plus mauvais que les autres et à penser que vous êtes juste ?
Non ! Le christianisme, c’est avant tout une Personne. J’ai besoin de quelqu’un qui soit capable de me comprendre, de m’aimer, de me secourir, de me conduire, de me donner une raison de vivre. Le vrai chrétien peut chanter :
« Pour moi, j’ai mon Sauveur ;
Il suffit à mon cœur.
Pour moi, j’ai mon Sauveur
En son amour je me confie. »
Lequel voulez-vous ?
Aujourd’hui, une porte ouverte : « Je suis la porte, dit Jésus ; si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé. » (Jean 10 v.9)
Demain, une porte fermée : « Dès que le Maître se sera levé et aura fermé la porte, alors vous vous tiendrez dehors et vous vous mettrez à frapper à la porte en disant : "Seigneur, Seigneur, ouvre-nous !" En réponse il vous dira : "Je ne vous connais pas, je ne sais d’où vous êtes." » (Luc 13 v.25)
De quel côté serez-vous ?
Encore une fois, nous vous le demandons : Lequel voulez-vous ?
Où passerez-vous l’éternité ?
Avec le Seigneur Jésus, votre Sauveur ou avec le meurtrier ?
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« Qui croit au Fils (de Dieu) a la vie éternelle ;
mais qui ne croit pas au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. »
(Jean 3 v.36)
(Adaptation d'un dépliant évangélique disponible pour la distribution à :
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